Lundi 13 avril, le Conseil de Paris a adopté le vœu qui engage la candidature de Paris au JO 2024. Cette candidature peut s'appuyer sur des infrastructures sportives déjà existantes (hormis une piscine aux standards olympiques) où qui sont programmées à l'horizon 2024.
La candidature de Paris aux Jeux Olympiques peut s'appuyer sur des infrastructures sportives qui existent déjà ou qui sont programmées à l'horizon 2024 (Arena 92, nouveaux Bercy et Roland-Garros...).
Etat des lieux dans la capitale et dans les départements limitrophes :
• Le Stade de France pourrait accueillir la cérémonie d'ouverture et les épreuves d'athlétisme.
• Le palais omnisport de Bercy : les sports collectifs
• Roland-Garros, le tennis
• le stade Jean-Bouin, le rugby
• la Halle Carpentier, les sports de combat
• le Parc des Princes, le football.
• La future Arena 92 du Racing-Métro à Nanterre
• la base nautique de Vaires-sur-Marne seraient aussi susceptible d'être utilisés.
Ensuite parce que le plan des sites retenus s'intègrera dans le réseau de transports du Grand Paris qui aura vu le jour d'ici 2024 et dont le financement est de toute façon acquis, avec ou sans les JO.
C'est ainsi que le Stade de France, stade olympique potentiel situé Nord de la capitale, pourra s'articuler avec le nouveau vélodrome de Saint-Quentin-en-Yvelines, dans le sud-ouest de la région ou encore avec la base nautique en cours de rénovation de Vaires-sur-Marne située dans le sud-est.
Seul impératif, le village olympique, dont l'emplacement reste à définir et qui devra se trouver à distance raisonnable de la plupart des installations.
>> Le reportage d'Isabelle Dupont