Journaliste tuée et mutilée à Paris: une dizaine d'interpellations

Une dizaine de personnes ont été interpellées dans l'enquête sur le meurtre d'une journaliste, dont le corps avait été retrouvé mutilé il y a un an à Paris, a-t-on appris jeudi de source proche de l'enquête.

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Une dizaine de personnes ont été interpellées dans l'enquête sur le meurtre d'une journaliste, dont le corps avait été retrouvé mutilé il y a un an à Paris, a-t-on appris jeudi de source proche de l'enquête. Les personnes interpellées ont toutes été placées en garde à vue dans les locaux de la brigade criminelle de la police judiciaire parisienne. 

Fin septembre 2013, des ouvriers travaillant sur un chantier dans le nord de Paris avaient retrouvé dans une gaine électrique le cadavre de cette jeune femme, mutilé au niveau des jambes.

Les enquêteurs de la brigade criminelle étaient parvenus à identifier la victime, qui avait travaillé, occasionnellement, pour France Télévisions, une collaboration à laquelle elle avait mis un terme en raison de problèmes personnels. Originaire du sud de la France, elle vivait à Paris depuis quelques années. Sa famille avait signalé sa disparition en août 2013.

Un magistrat instructeur a été désigné en octobre 2013 pour enquêter sur cette mystérieuse affaire. D'autres arrestations ont déjà eu lieu en plusieurs mois dans ce dossier. Fin octobre 2013, quatre personnes, trois hommes et une femme, les dernières à avoir été en contact avec la victime, avaient ainsi été arrêtées et placées en garde à vue. Mais elles avaient été relâchées deux jours plus tard sans qu'aucune charge n'ait été retenue à leur encontre.

Quelques mois plus tard, en mars 2014, trois personnes avaient également été arrêtées et mises en examen, mais pour une affaire périphérique au meurtre: le recel du portable de la victime.

Les enquêteurs s'étaient rendus compte que le téléphone de la victime était utilisé depuis l'Égypte. Une source judiciaire avait alors assuré à l'époque que ces trois personnes n'étaient "pas rattachées au meurtre".

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