La première fois qu'il était exposé au Palais de Tokyo c'était il y a 14 ans. Cet artiste plasticien revient pour une exposition dédiée à la nouvelle scène artistique française. Habitué à exposer à l'étranger, Mohamed crée pourtant principalement à Gennevilliers. Le Palais de Tokyo a donc décidé de faire découvrir ses oeuvres au public francilien.
Solène Lescouët, Lewis Ofman, Clarck Ayessa, Kevis Manzi et Jean-François Chaput, cette semaine, dans Toki Woki, les artistes et les grands noms sont légion. Parmi eux, Mohamed Bourouissa, artiste franco-algérien contemporain et sa nouvelle exposition rétrospective "Signal" à découvrir au Palais de Tokyo.
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Mohamed, comment es-tu venu à l'art ?
Mohamed Bourouissa : Par le dessin. Quand j'étais petit, ça a vraiment été une sorte de soupape et j'ai trouvé un moyen de communiquer avec les autres par le dessin.
C'est ta première exposition à Paris ?
Mohamed Bourouissa : C'est ma première exposition rétrospective de cette ampleur avec autant d'œuvres présentées dans le même espace. Je présente aussi de nouvelles choses dans l'exposition donc c'est à la fois une rétrospective mais aussi une occasion de montrer de nouveaux projets.
Qu'est-ce que ça te fait de rentrer dans l'institution du palais de Tokyo ?
Mohamed Bourouissa : C'est une sorte de reconnaissance du travail que j'ai fait depuis pas mal d'années et je suis heureux d'être là.
L'exposition débute avec trois œuvres un peu importantes autour de l'idée de jardin, des plantes, des sculptures mais aussi du son et, plus loin, de la peinture et de la photographie. Mohamed Bourouissa ne s'arrête pas à une seule manière de créer, il bâtit de petits univers à découvrir et traverser tout au long de l'exposition.
Retrouvez l'intégralité de l'interview de Mohamed Bourouissa dans Toki Woki, en replay sur france.tv/idf