Chantal Jouanno, sénatrice UDI de Paris, a annoncé mardi ne pas être candidate aux prochaines municipales à Paris, sauf si son parti le lui demande, car elle préfère privilégier son "engagement" écologiste.
"A titre personnel, je ne suis pas candidate", a expliqué l'ancienne ministre des Sports au Talk Orange-Le Figaro à propos des municipales de 2014 à Paris. Mais elle ajoute: "Si mon parti, si l'UDI me demande, parce que il y a besoin de porter une parole, oui". "Mais moi, mon engagement aujourd'hui, c'est vraiment l'écologie", précise-t-elle.
"J'ai vraiment envie que l'UDI réussisse, aujourd'hui on a besoin de cette nouvelle parole politique, donc si Jean-Louis Borloo me dit : écoutes, il faut vraiment qu'on y aille, on a besoin de toi, on y va, j'y vais. Mais aujourd'hui le sujet, c'est que mes paroles, mes convictions sur les questions écologiques, elles ne font pas l'unanimité au sein des élus de droite, c'est une évidence", insiste-t-elle.
Interrogée sur une éventuelle participation de l'UDI à une primaire ouverte avec l'UMP, la sénatrice de Paris renvoie la balle dans le camp du parti de Jean-François Copé. "Sur la question des primaires ouvertes, j'ai toujours dit que pour l'UMP, c'était nécessaire. Maintenant nous à l'UDI, si ce sont des primaires organisées par l'UMP tel que nous avons vu le précédent vote (pour la présidence de l'UMP, ndlr), nous n'y participerons pas", explique-t-elle. "Aujourd'hui, c'est à l'UMP que se pose la question de son leader à Paris. Eux, ils ont un vrai problème de leadership, nous on est en train de travailler sur le projet", fait-elle valoir.
"J'ai vraiment envie que l'UDI réussisse, aujourd'hui on a besoin de cette nouvelle parole politique, donc si Jean-Louis Borloo me dit : écoutes, il faut vraiment qu'on y aille, on a besoin de toi, on y va, j'y vais. Mais aujourd'hui le sujet, c'est que mes paroles, mes convictions sur les questions écologiques, elles ne font pas l'unanimité au sein des élus de droite, c'est une évidence", insiste-t-elle.
Interrogée sur une éventuelle participation de l'UDI à une primaire ouverte avec l'UMP, la sénatrice de Paris renvoie la balle dans le camp du parti de Jean-François Copé. "Sur la question des primaires ouvertes, j'ai toujours dit que pour l'UMP, c'était nécessaire. Maintenant nous à l'UDI, si ce sont des primaires organisées par l'UMP tel que nous avons vu le précédent vote (pour la présidence de l'UMP, ndlr), nous n'y participerons pas", explique-t-elle. "Aujourd'hui, c'est à l'UMP que se pose la question de son leader à Paris. Eux, ils ont un vrai problème de leadership, nous on est en train de travailler sur le projet", fait-elle valoir.