Selon nos confrères de l'Opinion, la non-livraison du Vladivostok et du Sebastopol à Moscou coûterait à l'Etat ou à la DCNS la somme de 5 millions d'euros par mois, en prenant en compte les seuls frais de gardiennage et de maintenance.
D'après le blog secret défense de l'Opinion, la non-livraison du Vladivostok et du Sebastopol à Moscou coûterait à l'Etat ou à la DCNS la somme de 5 millions d'euros par mois, en prenant en compte les seuls frais de gardiennage et de maintenance.
A partir du 16 mai, date à laquelle prend fin le délai de "force majeure" demandée par la France, le contrat pourrait être résilié par l'une des parties. Dès lors, la Russie serait en mesure de réclamer des pénalités de retard, limitées à 5% du total, mais aussi d'éventuels dommages et intérêts, dont le montant pourrait s'avérer considérable. D'après l'Opinion, des proches du dossier évoquent une somme "entre 500 millions et 5 milliard".
Rappelons qu'en cas de non-livraison, la France devra rembourser la somme payée par la Russie pour les deux BPC Mistral, somme qui s'élève à 890 millions d'euros.