En Août 2010, une habitante d'Asserac a été brûlée par un décapant chimique dans un magasin de déstockage.
Nadine Rémy, victime de cet accident, se retrouve aujourd'hui doublement pénalisée. Elle ne peut plus s'exposer au soleil à cause de ses profondes brûlures sur la peau. Par ailleurs, les traitements coûteux ne sont pas pris en charge par la sécurité sociale. Les indemnisations tardent à venir...
Asserac : brûlée par des produits chimiques dans... par France3PaysdelaLoire
La vie de Nadine a basculé le 4 aout 2010. Elle était déja atteinte d'un cancer. Mais ce jour là, elle a été brulé sur les jambes et les avant bras par du desptal G, un décapant chimique à base de soude et de chlore. Pendant 4 mois, elle a souffert de plaies purulentes.
L'accident s'est produit dans un magasin de déstockage situé à la Roche Bernard.
Aujourd'hui, Nadine vit enfermée chez elle à Assérac. Elle ne peut plus s'exposer au soleil et n'a plus les moyens de se soigner. Elle a bien touché une provision de 4500 euros mais c'est insuffisant pour payer son avocate et ses 600 euros de crème par mois, des crèmes non remboursées.
Cela va faire 2 ans qu'elle se bat avec les assurances, les experts et la justice.