Le 10 avril, les françaises et français sont appelés à voter pour le premier tour de l'élection présidentielle. Au côté de Virginie Charbonneau : Yves Treca-Durand, journaliste au Courrier de l’Ouest à Angers, Germain Treille, rédacteur en chef à France Bleu Mayenne et Arnaud Wajdzik, directeur départemental de Ouest France en Loire-Atlantique. En duplex de Rennes, Thomas Frinault, maître de conférence à l'université de Rennes 2.
Rendez-vous le 3 avril à 11 heures 25 pour ce nouveau numéro de Dimanche en Politique.
Parmi les thèmes évoqués, le pourcentage de votants les Pays de la Loire seront en période de vacances scolaires lors des deux tours de l'élections présidentielle.
Il n’y a jamais eu autant de demandes de procuration que cette année pour un premier tour d’élection présidentielle. 2000 au total avaient été enregistrées à Nantes en 2017. On en est déjà 5000 à Nantes, alors qu’il reste une semaine pour faire les démarches.
Tous les media couvrent la campagne, mais pas avec même règles. Elles sont draconiennes pour les radios et télés, avec le principe de l’égalité absolue deux semaines avant le 1er tour de l’élection présidentielle. Pour la presse écrite, pas de contraintes, si ce n’est celles que déontologiquement les journaux s’imposent. Le titre Ouest-France s'interdit par exemple de publier et commenter des sondages.
Nous évoquerons également la discrétion de deux figures politiques de la région dans cette campagne. C’est le cas par exemple de Johanna Rolland, maire de Nantes et porte parole d’Anne Hidalgo, quasiment invisible pendant la campagne, et qui n’a reçu la candidate dans sa ville, pourtant bastion socialiste, qu’une seule fois, ce vendredi 1er avril, à une semaine du 1er tour.
Même « discrétion » pour Christelle Morançais, l'une des six porte-paroles de Valérie Pécresse au niveau national, qui a fait le service plus que minimum pour porter le programme de la candidate Les Républicains.
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