Au total le gouvernement a annulé en France 7 demandes de permis de recherche d'hydrocarbures parce qu'il considère qu'elles visent les gaz de schiste.
En PACA la demande de recherche de gaz sur une zone de 6.785 km2 concernait Brignoles et s'étendait sur 4 départements (Var, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône et Vaucluse, d'après le demandeur). Elle avait été déposée par l'américain Schuepbach.
Les autres demandes rejetées
- Beaumont-de-Lomagne: la demande de recherche de gaz portait sur une zone de 10.405 km2, s'étendant sur 7 départements (Lot-et- Garonne, Dordogne, Lot, Tarn-et-Garonne, Haute-Garonne, Ariège, Gers). Elle avait été déposée par BNK France, filiale de l'américain BNK Petroleum.
- Cahors : la demande de recherche de gaz sur 5.710 km2, sur 4 départements (Aveyron, Dorgogne, Lot et Tarn et Garonne), émanait de 3Legs Oil&Gas, une société de l'île de Man.
- Lyon-Annecy : la demande de recherche de pétrole et de gaz portait sur 3.800 km2, répartis sur 5 départements (Savoie, Haute-Savoie, Ain, Isère, Rhône), et avait été effectuée par Schuepbach.
- Montélimar (extension): la demande de recherche de gaz émanait du géant pétrolier français Total. Elle concernait 1.859 km2 situés sur trois départements (Drôme, Var, Gard).
- Montfalcon : la demande visait à rechercher du gaz sur une superficie de 5.792 km2, dans cinq départements (Savoie, Isère, Drôme, Ardèche et Rhône), et avait été déposée par BNK France.
- Valence : la demande visait du pétrole et du gaz, sur une zone de 5.801 km2 à cheval sur cinq départements (Rhône, Isère, Savoie, Drôme, Ardèche), et avait été déposée par 3Legs Oil & Gas.