Derrière la porte de la cathédrale, un trou, une cachette avec, à l'intérieur, un possible trésor. Nouvelles investigations. Et immense déception. Les questions sont toujours posées.
Derrière la porte de la cathédrale, des hommes ont eu un fol espoir. Mieux! Une certitude, sur la foi d'archives municipales de la fin du 19ème siècle. Elles expliquent la présence de restes épiscopaux derrière une pierre striée, située à hauteur d'homme à côté de l'autel mérovingien. Des ossements, une bague avec une améthyste, le manche d'un poignard, découverts, puis replacés.
Mais rien du tout, à part une déception immense, à part aussi de nombreuses questions.
Car dès 1884, les restes d'un évêque du 13ème siècle ont mis été au jour, les archives sont formelles.
Aujourd'hui, le trou a été dissimulé par du contreplaqué. Mais l'espoir d'un trésor est encore là…
La lumière viendra peut-être un jour. La cathédrale d'Antibes n'a sans doute pas encore révélé tous ses secrets.