Montée des marches très pluvieuses samedi pour les deux films en compétition "Jimmy Pi" du Français Arnaud Despléchin et "Tel père tel fils" du Japonais Kore-Eda. Et nos reportages à Cannes avec Michel Piccoli et le responsable des projections.
Les pluies diluviennes sur Cannes, remplissant encore plus les salles, n'ont pas perturbé la course pour la Palme d'or avec l'entrée en lice de Benicio del Toro, prix d'interprétation en 2008 pour "Che", et de Mathieu Amalric, vedettes de "Jimmy P.", le "western" psy d'Arnaud Desplechin. Le réalisateur français a porté à l'écran l'histoire vraie d'un vétéran indien et de son analyste européen. Autre film entré en compétition, dans un tout autre registre: "Tel père, tel fis" du Japonais Kore-Eda, film délicat et profond sur la paternité et le lien du sang.
Page spéciale Cannes du samedi 18 mai:
- Michel Piccoli et le scandale de "La grande bouffe" en 1973
- Portrait du projectionniste Alain Besse
Reportage: N. Layani, O. Orsini, H. Nicolas, P. Millois et P. Hervé