Suite au vaste coup de filet dans l'enquête sur le retentissant braquage de la star américaine Kim Kardashian à Paris faisant 17 interpellations dont l'une à Grasse, la star du web a réagit à l'enquête.
"Il appartiendra au juge d'instruction de décider ce dont il a besoin pour mener son enquête. Il peut demander à Kim Kardashian de reconnaître les personnes qui l'ont agressée, soit il voudra que ce soit en personne, soit sur des photos. C'est une possibilité", a affirmé ce lundi après-midi l'avocat de la star Me Jean Veil, qui a précisé que sa cliente avait "exprimé des félicitations" aux services de police français.Dans la nuit du 2 au 3 octobre, la vedette ultramédiatisée de 36 ans s'était fait braquer par cinq hommes armés dans une discrète résidence hôtelière de luxe du centre de Paris, où elle était venue assister à la Fashion Week. Après l'avoir ligotée, bâillonnée et enfermée dans la salle de bain, ils étaient repartis avec
une bague d'une valeur de quatre millions d'euros et un coffret de bijoux pour un montant de cinq millions.
17 personnes interpellées
Avec des interpellations à Paris, dans le Val-de-Marne, en Seine-et-Marne, Seine-Saint-Denis, dans les Alpes-Maritimes et le Gard, l'opération a permis
d'arrêter 17 personnes - le plus jeune interpellé est né en janvier 1994 et le plus âgé, interpellé à Grasse, a 72 ans.
Des personnes "quasiment toutes connues pour grand banditisme", selon une source policière, qui précise que figurent parmi elles trois femmes. L'une d'entre elles, 65 ans, a été arrêtée à Saint-Jean-des-Pins, dans le Gard, selon une source proche du dossier.
Les gardes à vue pourront durer jusqu'à 96 heures, l'enquête étant ouverte pour "vol avec arme en bande organisée", en plus d'"association de malfaiteurs" et "séquestration".