Après 7 semaines de débrayage, 2 fois par jour, aux heures de ramassages scolaires, un accord a été trouvé avec la direction. Les chauffeurs ont notamment obtenu la révision des grilles de salaire et d'ancienneté ainsi que le versement fixe d'une partie de la prime de non-accrochage.
Avant les vacances scolaires, la situation n'était plus tenable pour les parents d'élèves:
"On ne peut pas descendre tout le monde. Il y a des fois où ils restent à la maison, par obligation," explique une mère de famille.
Les parents d'élèves étaient venus déposés une pétition demandant l'intervention des élus.