Stade Allianz Riviera de Nice : les dix noms les plus cités lors de l'opération "Nomme ta tribune"

Dix noms ont été retenus au terme de la consultation concernant les futurs noms des quatre tribunes de l'Allianz Riviera. Un jury doit se réunir pour définir parmi ces dix sélectionnés les quatres noms définitifs.

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Le stade baptisé, Allianz Riviera doit être livré à l'été 2013. La Ville de Nice et l'OGC Nice Côte d'Azur ont lancé une grande concertation début septembre pour que les Niçois puissent « Nommer leur tribune ». Certains supporters avaient en effet regrété le nom donner à leur futur stade.

Par Internet, mail ou courrier, 2386 participants ont soumis 8663 propositions. Les dix les plus formulées – représentant 45% de l'ensemble – ont été retenues.

Dans l'ordre alphabétique, les dix noms retenus :

  • Adams : Jean-Pierre Adams est un footballeur international français né le 10 mars 1948 à Dakar. Il porta les couleurs de l'OGC Nice de 1973 à 1977 où il deviendra vice-champion de France de D1 en 1976, mais aussi de l'Equipe de France. À l'occasion d'une opération bénigne au genou, Jean-Pierre Adams tombe dans un long et profond coma le 17 mars 1982 suite à une erreur d'anesthésie, dont il ne s'est toujours pas réveillé.
  • Bjekovic : Né en Serbie, Nenad Bjekovic est considéré comme l'un des plus grands avant-centres ayant évolué dans le championnat français. Il marqua 85 buts en un peu plus de quatre saisons (1976 – 1981) avec l'OGC Nice. Il fut l'entraineur du club de 1987 à 1989.
  • Garibaldi : Giuseppe Garibaldi, né le 4 juillet 1807 à Nice et mort à Caprera (Italie) le 2 juin 1882, était un général, homme politique et patriote italien. Député de Nice, il est considéré comme l'un des « pères de la patrie » italienne.
  • Gonzalez : César Hector « Pancho » Gonzalez, plus d'un demi-siècle d'OGC Nice. D'abord en tant que joueur, de 1951 à 1961, lorsqu'il devient triple champion de France (1952, 1956, 1959) et remporte deux coupes de France (1952 et 1954). Puis en tant qu'entraîneur, de 1964 à 1969. Viscéralement attaché au Gym, l'Argentin s'investit par la suite dans le staff.
  • Masséna : Militaire français, maréchal d'Empire, André Masséna est né à Nice le 6 mai 1758 dans le comté de Nice qui faisait alors partie du royaume de Sardaigne. Il passa son enfance à Levens dans ses maisons familiales de la Siga et du Serret. Il devint duc de Rivoli en 1808 et prince d'Essling en 1810. Il mourra à Paris en 1817.
  • Médecin (père et fils) : Maire de Nice, Président du Conseil général des Alpes-Maritimes, Député, Sénateur, Jean et Jacques ont marqué l'histoire politique de la ville de Nice.
  • Nurenberg : L'attaquant luxembourgeois Victor Nurenberg, a fait le bonheur du Gym entre 1951 et 1960. Grand artisan des titres remportés par le club dans la décennie, il marque définitivement l'histoire du club en inscrivant un triplé, le 4 février 1960, en quart de finale de la Coupe des clubs champions, face au grand Real Madrid.
  • RayLe stade Léo-Lagrange, plus communément appelé stade du Ray, l'arène des Aiglons entre 1927 et 2012. 85 ans d'émotions. Le terme « Ray » vient du niçois « rai », devenu par la suite ray, qui signifie ruisseau.
  • Segurane : Catherine Segurane est une héroïne niçoise du 16ème siècle, qui s'illustra lors du siège de Nice de 1543. Figure emblématique du pays niçois, elle symbolise l'expression d'un fort sentiment patriotique et identitaire.
  • Sud : A la fois une référence à l'appartenance de Nice au Sud de la France, et un clin d'oeil à la populaire sud, tribune emblématique du stade du Ray.
C. Estrosi : "Moi, je préfère avoir un stade qui s'appelle Allianz plutôt qu'Emirates"
Christian Estrosi, maire UMP de Nice, a lâché, selon l'Equipe, une petite phrase polémique lors de la présentation de ces futures tribunes samedi avant la rencontre face à Saint-Etienne.

"Moi, je préfère avoir un stade qui s'appelle Allianz plutôt qu'Emirates, vous voyez pourquoi " a lâché le maire UMP de Nice selon l'Equipe.fr.
Allianz est une société allemande, qui sponsorise la stade du Bayern Munich, alors que Emirates, sponsor du PSG et qui a donné son nom au stade d'Arssenal, est une compagnie aérienne basée à Dubaï.
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