VIDEO. 25 ans de la Coupe du monde 1998 : revivez l'émotion des Français de Nice à Marseille

Le 12 juillet 1998, la France était sacrée championne du monde de Football. Tout le monde se souvient où il a regardé ce match légendaire. Sur la Côte d’Azur à Nice, Marseille, à Toulon, dans la rue, dans vos canapés. France 3 remonte le temps pour un instant nostalgie.

C'est une soirée d'été qui a marqué toute une génération. Le 12 juillet 1998 après un parcours — presque – sans faute, l'équipe de France s'impose 3-0 face au redoutable Brésil. Une ferveur populaire s'empare alors du pays. Une foule black-blanc-beur qui fera la fête jusqu'au bout de la nuit. France 3 vous ramène 25 ans en arrière avec ces reportages diffusés le lendemain de la victoire. 

À Nice 

Entre nostalgie et frissons, les images de la place Massena qui s'embrase vont forcément vous faire un petit quelque chose. Cette année-là, c'est le grand début des écrans géants et des grandes émotions du foot français.

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Extrait du JT de France PACA du 13 juillet 1998. A Nice les supporters de l'équipe de France ont fait célébré la victoire en finale de la coupe du monde. ©France Television

 À Marseille

Folie générale à Marseille. Sur les plages du Prado, où 40.000 personnes se sont réunis devant les écrans géants. À la Castellane pour célébrer le héros du soir, l'immense Zizou. Et sur le Vieux-Port jusqu'au bout de la nuit. 

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A Prado plage, sur le vieux port, à la Castellane, le soir du 12 juillet 98 c'est tout Marseille qui vibrait pour l'équipe de France, mais surtout pour Zidane. ©France Television

À Gap et Toulon 

Même ambiance à Toulon et Gap avec des concerts de klaxon, des danses de joie et beaucoup, beaucoup de maquillage bleu blanc rouge. 

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Extrait du Journal Télévisé de France 3 PACA au lendemain de la victoire de la France en coupe du monde 1998 ©France Television

Les débuts de Clément d'Antibes 

C'est peut-être le supporter le plus célèbre de France. Clément d'Antibes et son célèbre coq Balthazar ont assisté à 300 matchs de l'équipe de France depuis 1984. Alors le 12 juillet 1998, Clément Balthazar et son fils n'étaient pas place Massena mais au Stade de France. 

Il s'en souvient bien. Jusqu'aux numéros des places. Entrée Z, rang 9 sièges 9 et 10. Mais à 3h du coup d'envoi Clément ne trouve plus les places. C'est le drame. "On a retourné l'appartement de mon frère". La finale qui lui passe sous le nez après avoir vu tous les matchs de la compétition, hors de question. 

Clément, son fils et le coq se rendent au stade, tombent sur une compagnie de CRS de Saint-Laurent-du-Var à qui ils montrent les photocopies des places. 

"Ce jour-là, exceptionnellement, on est rentrés dans le stade sans les billets. Les dieux du football étaient avec nous. Avec moi et avec l'équipe de France surtout". 

Pendant le match, Clément et sa banderole passeront 14 secondes sur l'écran géant et à la télé. "C'est le début de Clément d'Antibes." Les images de Balthazar feront le tour du monde, et Clément vivra 4 finales de coupe du monde en 25 ans. 

La nostalgie au Musée National du Sport

Pour les plus nostalgiques de cette date d'euphorie générale, le Musée National du Sport est là. Sous le stade de l'Allianz Riviera à Nice, un espace a été aménagé en hommage aux deux coupes du monde des Français. La victoire de 1998 y est bien représentée. 

Les visiteurs peuvent en effet retrouver le ballon et le fanion de la finale, le maillot que portait Youri Djorkaeff lors de France-Brésil, la mascotte, l'affiche officielle, le maillot de Zinédine Zidane lors du match d'ouverture de la compétition. Et surtout : les lunettes de Thierry Roland. Après avoir vu ça, on peut mourir tranquille. 

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