L'attaque du TGV à Marseille en photos sur les réseaux sociaux

 A la suite de l'attaque du TGV, samedi, devant la cité Air Bel du XIème arrondissement de Marseille, 10 jeunes étaient en garde à vue hier soir et doivent être présentés devant le parquet aujourd'hui, pour des faits d'entrave à la circulation des trains, dégradations volontaires et vol.


Les faits:
Un TGV venait de quitter la gare Saint-Charles à Marseille en direction de Hyères (Var) et Nice, avec environ 150 personnes dans deux rames
accouplées, quand des torches allumées sur les voies ont forcé le conducteur à s'arrêter près de cette cité classée en Zone de sécurité prioritaire.
Plusieurs dizaines de jeunes ont alors tenté de monter à bord avant de s'enfuir dans la cité à l'arrivée de la police, qui a essuyé des jets de pierres mais a pu interpeller dix d'entre eux.

Les individus interpellés, dont environ la moitié est mineure, ont évoqué le tournage d'"un clip de rap" pour expliquer leur attitude, selon une source proche de l'enquête.

Reparti vers 16H00 en direction de Toulon, le train était arrivé à Nice avec deux heures de retard, vers 18H30.

les réactions des politiques:
"Manuel Valls rend hommage aux policiers qui sont rapidement intervenus pour protéger les passagers et le personnel de la SNCF", selon un communiqué du ministère de l'Intérieur transmis dimanche à l'AFP. "Contraindre un train à s'arrêter d'urgence, semer la panique parmi les voyageurs, caillasser les forces de l'ordre sont des actes inacceptables", a-t-on indiqué au ministère.

Pour le maire (UDI) des 11e et 12e arrondissements de Marseille,
Robert Assante, "aller sur des voies SNCF pour arrêter un TGV est un acte qui dépasse l'entendement".

Sur internet quelques photos ont circulés.
 
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