Les recours aux corticoïdes par Dan Carter, Joe Rokocoko et Juan Imhoff avant la finale du dernier Top 14 étaient "autorisés" et "ne nécéssitaient pas d'AUT", a affirmé vendredi leur club, le Racing 92.
"Il s'agit de traitements administrés par voie autorisée, prodigués en réponse à des pathologies avérées, plusieurs jours avant la finale du Top 14 et ne nécessitant pas d'AUT (autorisation à usage thérapeutique)", écrit le Racing 92 dans un communiqué.
Le quotidien sportif L'Equipe a révélé que des traces de corticoïdes avaient été retrouvées dans les urines de l'ouvreur néo-zélandais Carter et de son compatriote ailier Rokocoko, ainsi que de l'ailier argentin Juan Imhoff, soit trois joueurs clés du Racing 92, lors d'un contrôle surprise le 24 juin, lors de la finale du Championnat de France remportée contre Toulon.
Dans le plus total respect des règles anti-dopage
"Tous les actes médicaux pratiqués sur les joueurs cités par les medias l'ont été dans le plus total respect des règles anti-dopage nationales et internationales, tant au niveau des procédures administratives que médicales", assure le club, ajoutant que "tous les protocoles médicaux (étaient) clairs" et que "la transparence (serait) totale".
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— Racing 92 (@racing92) 7 octobre 2016