En effet, le 11 janvier dernier, l'édile varois a pris un arrêté reçu en préfecture le 15 dans lequel il manifeste sa volonté de ne pas voir ce type de spectacle sur le périmètre de sa commune. Pour lui, il considère que les conditions de détention des félins et autres sont inappropriées.
Les services de l'état avaient deux mois pour procéder au contrôle de la légalité. Le 12 mars dernier, le maire a reçu un courrier de la sous-préfecture qui lui demande de bien vouloir retirer cet acte. C'est ce qu'on appelle un recours gracieux.
Déjà, un premier arrêté portant sur l'interdiction des cirques avec animaux sauvages avait fait l'objet d'un recours devant le tribunal administratif et avait été annulé. Le maire de la commune ne comprend pas pourquoi l'état préconise le maintien de spectacles dans lesquels le bien-être animal n'est pas la priorité.