La rédaction de France 3 Le Havre-Baie de Seine a suivi Erika pendant une journée. L'occasion d'en savoir plus sur le métier de surveillant pénitentiaire
Un travail d'équipe
C'est par précaution, qu'Erika n'a pas souhaité que l'on filme son visage. Car son métier présente des risques. Surtout celui d'être victime d'agression.Alors après les incidents qui ont secoué ces derniers mois la prison du Havre (le centre pénitentiaire de Saint-Aubin de Routot), et après la récente visite du ministre de la Justice (Lire ci-dessous notre article du 27 février 2017)
une équipe de France 3 Le Havre-Baie de Seine a souhaité tourner le portrait d'une gardienne de prison. Ce qu' a autorisé l'administration pénitentiaire. C'est ainsi qu'Erika a accepté de parler du métier qu'elle exerce depuis 7 ans.
Des postes à pourvoir
Ce reportage est l'occasion de rappeler qu'après avoir engagé 2500 surveillants en 2016, l'administration pénitentiaire poursuit sa politique de recrutement. Pour l'année 2017 ce sont 2500 autres postes qui sont à pourvoir.
► Renseignements, présentation et inscription sur le site "la Justice recrute" devenirsurveillant.fr