Les interrogations habituelles dans la presse après une libération d'otages, le plan d'économies de Manuel Valls contré par son propre camp, et le ras-le-bol des femmes face au sexisme des hommes dans la rue.
La presse cherche à comprendre les coulisses de la libération des quatre otages français détenus en Syrie. Le Figaro s'interroge sur les filières djihadistes. Le journal explique que le gouvernement va présenter demain en conseil des ministres des mesures pour lutter contre ce phénomène. L’idée est de détecter très tôt les jeunes susceptibles de se retrouver embrigadés dans des milices.
Le Monde nous ramène à la politique intérieure avec cette question : comment trouver les 50 milliards d’économies qu’il manque à l’Etat ? Le journal publie les contre-propositions des députés PS qui s’opposent au plan de rigueur de Manuel Valls.
Les femmes en ont marre des goujats et le clament en une du Parisien/Aujourd'hui en France. De plus en plus d’associations dénoncent les comportements grossiers dans la rue. 60% de femmes disent avoir déjà subi moqueries ou insultes sexistes.
A lire aussi dans la presse régionale
La diminution du nombre de régions proposée par le premier ministre Manuel Valls continue de susciter des commentaires divers et variés : le Midi-Libre s'interroge : "Et si l'Auvergne rejoignait le Languedoc-Roussilon ?". Le journal y voit des avantages non négligeables par rapport à une alliance avec les voisines du sud. France 3 Franche-Comté fait le tour des régions pour voir si l'entente est la même qu'entre la Bourgogne et la Franche-Comté.
L'aide à domicile est en danger dans le Nord-Pas-de-Calais. Les associations tirent la sonnette d'alarme dans Nord-Eclair : les financements sont insuffisants, et compromettent cette activité pourtant de plus en plus nécessaire. France 3 Basse-Normandie rapportait aussi en février dernier le mécontentement des acteurs du secteur devant la baisse des crédits alloués par la régions aux personnes âgées.
Ce type d'histoire fait toujours rêver, on voit déjà la malle au trésors ou les objets usés porteurs de récits trépidants... Le Télégramme raconte le projet de renflouement d'un navire qui avait sombré en 1759 en baie de Quiberon. Le joyau de la flotte de Louis XV gît par vingt mètres de fond.