Interview. Olivier Trendel, professeur en marketing à Grenoble Ecole de Management, juge "très agressive et négative" la campagne Obama-Romney.
Une campagne basée sur la "publicité négative"
La "publicité négative", ce sont des messages servant à dénigrer délibérément le concurrent. Ils représentent, selon Oliver Trendel, environ 80 % de tous les messages véhiculés à cette occasion. La plupart jouent sur la peur. Mais l'étude réalisée par Olivier Trendel montre que leur efficacité est limitée aux militants. Les indécis, clé du scrutin, sont beaucoup plus sensibles à des messages positifs. Olivier Trendel, interviewé par Pauline Alleau, en direct sur France 3 Alpes ce mardi 6 novembre.
Vous pouvez lire le résumé de l'étude d'Oliver Trendel sur ces élections américaines ci-dessous.