Olivier Merle, l'homme et demi, sur les écrans mercredi. L'ancien joueur de l'ASM et de l'équipe de France de rugby fait partie du casting du nouveau film de Michael Youn, "Vive la France", aux côtés également de José Garcia.
"Vive la France", c'est l'histoire de Muzafar et Feruz, deux bergers du Taboulistan, petit pays d’Asie centrale, qui ont pour mission de détruire la Tour Eiffel. Au cour de leur périple, ils vont croiser tout ce qui fait la France, y-compris ses terrains de rugby sur l'un desquels ils vont croiser un certain Olivier Merle. L'ancien international tricolore (45 sélections) retrouve le cinéma grâce à Michael Youn après une première expérience dans un court-métrage en 2006. L'ex-joueur de rugby a confié ses impressions dans Match Retour.
Olivier Merle, de retour sur un terrain de rugby ?
Oui, c'est ça. J'ai pris beaucoup de plaisir à retrouver le terrain. On a tourné une scène de rugby pendant une journée, quatre jours de tournage en tout. On découvre la gastronomie du sud-ouest, le rugby, les personnages principaux du film vont découvrir, au fil du film, la France et passant par tout un tas de choses dont le rugby.
Il y a une image impressionnante d'un placage sur José Garcia ou peut-être sa doublure ?
Effectivement, c'était sa doublure, un cascadeur avec lequel j'ai répété plus de vingt fois le placage pour avoir une bonne prise. Il est toujours en vie ! C'est un cascadeur, c'est son métier. Il n'était pas épais mais j'ai réussi à me faire mal en le plaquant, ça ne m'est jamais arrivé sur le terrain.
Ce n'est pas votre première expérience dans le cinéma, il y avait eu un court-métrage en 2006, "Chair fraîche". Quelle est votre principale motivation ?
C'est un plaisir, c'est pour rigoler, aller à la découverte de nouvelles expériences. J'avais commencé très fort avec ce cout-métrage puisque j'avais cinq heures de maquillage par jour, on a tourné en extérieur pour quatre-vingt dix minutes de bobines pendant douze jours, avec quarante techniciens, pour en sortir huit minutes au final. Donc là, pour l'expérience, c'était un bon début.
Propos recueillis par Jean-Luc Roussilhe (l'intégralité de l'entretien est à voir dans la vidéo ci-dessous).