Six mois après la reprise partielle de la fonderie de Vaux, les salariés restés sur le carreau réclament réparation. Ils sont aujourd'hui le tribunal des Prud'hommes à Montluçon.
Six mois après la reprise partielle de la fonderie de Vaux et le licenciement de 135 personnes, ces ex-salariés de DMI sont devant le tribunal des Prud’hommes de Montluçon pour réclamer des dommages et intérêts auprès de leur ancien employeur, les sociétés DMI Inc. qui dépend du groupe américain Platinum, actionnaire de DMI à l’époque. Rappelons que la fonderie de Vaux a été reprise en mars dernier par deux associés, un fondeur parisien et un fondeur de Saint-Eloy-les-Mines, mais ces derniers n'ont pu conserver qu'une trentaine d'emplois.
Pour compléter leurs conditions de licenciement, une autre action est menée en parallèle par les représentants du personnel auprès du tribunal administratif de Clermont-Ferrand.
L'affaire a été renvoyée à l'audience du 19 mai 2014.