L'Ardèche fait son cinéma avec un héros baptisé "Ardéchois Jones". Une version terroir d'un certain "Indiana". Notre aventurier local invite les touristes à découvrir les plus beaux sites du département grâce à des vidéos diffusées sur le web. Saga à découvrir d'urgence avant les vacances.
Dans ces vidéos d'environ cinq minutes diffusées sur internet. Des films d’aventure, pastiches d’une autre saga devenue culte. Notre héros invite les amateurs de paysages de rêve à découvrir les plus beaux sites du département. Et il se donne du mal …
La saga "Ardéchois Jones" a débuté avec "le mystère de l'abbaye" (et non pas le mystère du temple maudit). On peut découvrir que Jones prend le Mastrou, triomphe des forces du mal en faisant claquer sa canne à pêche, prend le large en montgolfière, part à la recherche d’un trésor… car bien sur pas d’aventurier sans trésor caché au fin fond d'une bâtisse en ruines ! et il se fait des amis ...!
Le premier opus de la saga ci-dessous...
Découvrir le département comme le ferait un aventurier !
L'Ardèche rime avec paysages de cartes postales mais aussi de véritables décors de cinéma… et c’est sur cette idée que l'initiative de cette web série a démarré. Décalée, cette campagne de l'agence de développement touristique de l'Ardèche pastiche sans complexes et avec beaucoup d'humour les films de Steven Spielberg. Les «créateurs » d’Ardéchois Jones s'en sont donnés à coeur joie et ont exploité le filon jusqu’au bout avec force jeux de mots, effets spéciaux et clins d’œil à la célèbre saga américaine… Ils ont ainsi réussi à créer un personnage anti-conformiste, campé par un comédien originaire de Privas. Pour en apprendre plus sur le héros et les coulisses des tournages, et accessoirement découvrir les richesses de l'Ardèche : rendez-vous sur son vrai-faux tumbler ! (http://ardechois-jones.tumblr.com)L’été dernier, c'est un jeu sur les réseaux sociaux qui avait été lancé. Il s’agissait de pasticher les noms des communes ardéchoises … un jeu créatif qui a séduit les internautes et fait un carton ! Le vainqueur souvenez-vous : un certain "Jaujac Goldman".