Une pluie de glace s'est abattue sur la Bresse le 30 juillet dernier. Un orage de grêle qui a frappé les carrosseries automobiles. 4.000 véhicules ont été criblés par des grêlons de gros calibres. Aujourd'hui, des équipes de spécialistes évaluent le péjudice et procédent aux réparations.
L'orage qui s'est abattu sur la région le 30 juillet, notamment dans le Rhône et l'Ain, a frappé par son intensité. Ce jour-là, la grêle a massacré les toitures, les arbres, les vignes, les carosseries des voitures restées dehors et le mobilier de jardin. Des billes de glace d'une rare violence qui ont laissé des traces en Bresse.Dégâts suite à l'#orage de #grêle hier à Montrevel en Bresse (#Ain (#RhôneAlpes) - Benoît Boulisset / Le Progrès : https://t.co/UFKTaFlqv9 pic.twitter.com/4brWOQEzs5
— Météo Villes (@Meteovilles) 31 juillet 2017
Les #orages reprennent dans la #Loire et gagnent le #Rhône avec de fortes chutes de grêle. Photo Sab Mancebo pic.twitter.com/k9ekLqYfNN
— Keraunos (@KeraunosObs) 30 juillet 2017
Un mois plus tard, 4.000 voitures sont en cours ou en attente d'expertise. Des équipes spécialisées sont venues de toute la France pour accélerer les procédures. C'est que l'évaluation du préjudice est un travail d'expert et le débosselage, une tâche minutieuse.
Toutes les voitures ne pourront pas être réparées, le montant des travaux dépassant parfois le barême de l'argus.
Autant dire que la violence de cet orage de grêle n'a pas frappé que les esprits, elle touche aujourd'hui au porte-monnaie de certains propriétaires.
Reportage