Le Mont-Blanc victime de la surfréquentation

Avec les beaux jours, le Mont blanc a été pris d'assaut cet été. Malgré l'interdiction du bivouac sauvage et la surveillance policière, la voie royale a été saturée tout l'été. Victime de son succès, le Mont Blanc n'a pas échappé à la surfréquentation.

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Depuis cette année, 2 gendarmes sont postés au Glacier de Tête Rousse.Leur mission, rappeller que le bivouac sauvage est interdit et que camper au-delà de 2000 m d'altitude est passible d'une amende. Car le Mont-Blanc est un site classé.

Seule une ère a été aménagée pour planter sa tente, à Tête Rousse. Cet été on s'y bousculait. Tous ceux qui n'ont pas pu ou pas voulu faire une halte au refuge du Goûter, ultra-moderne, flambant neuf mais à 90 euros la nuit et surtout souvent complet.

C'est donc à l'abri Vallot, un refuge de 30 m2  non gardé, à priori réservé aux cas de détresse que les alpinistes s'entassent dans des conditions pour le moins douteuses. ( Reportage France 2 & France3 Alpes )



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