Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a déclaré "s'associer à la peine" des familles des gendarmes tués accidentellement dans le massif du Mont-Blanc. Le président du Sénat, Jean-Pierre Bel, exprime "sa vive émotion".
Dans un communiqué, le Premier ministre, fait part de sa "très grande tristesse", "salue encore une fois l'engagement de la gendarmerie dans les missions de secours en montagne", rappelant que "la gendarmerie a déjà été durement touchée par des drames en montagne en mars et en avril 2013".
Une cordée de trois hommes, âgés de 29, 33 et 44 ans, a dévissé mardi 2 juillet sur la face nord de l'aiguille du Midi, faisant une chute d'environ mille mètres. Deux des victimes, pères de famille, appartenaient au Peloton de surveillance et d'intervention de gendarmerie de Ruoms (Ardèche). La troisième était membre de la brigade de gendarmerie du Béage (Ardèche). L'un d'entre eux n'a pas encore été retrouvé et, selon Jean-Marc Ayrault, les services de l'Etat sont pleinement mobilisés pour le localiser.
Le président du Sénat, Jean-Pierre Bel, a aussi adressé ses condoléances aux familles des trois gendarmes. Exprimant "sa vive émotion", M. Bel "adresse aux familles de ces trois sous-officiers de gendarmerie, à leurs proches et à leurs camarades de régiment, ses plus sincères condoléances", indique un communiqué de la présidence du Sénat.