On a testé pour vous...la boxe avec le champion de Rumilly, Sébastien Madani

Cédric Picaud, présentateur de France 3 Alpes, a accepté de se frotter au champion du monde de boxe WBF Super-Welters, Sébastien Madani. Dans une salle surchauffée, ce "test" a duré 45 minutes, une éternité pour Cédric !

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D'un côté Sébastien Madani, 1 m 74, 69 kg. De l'autre Cédric Picaud, 1 m 75, 64 kg. Sur le papier, le combat semble équilibré. Dans les faits, Cédric est plutôt ski. "T'as voulu faire un sport d'homme", lance Sébastien, "tu vas être servi !". 

Dans les coulisses du "test"


On ne le voit pas dans le reportage mais l'échauffement de Cédric a commencé par des tours de ring, en petites foulées pendant une dizaine de minutes, ce qui explique les premières traces de transpiration.
Puis, arriva la séquence step et les premiers exercices de coordination entre les mains et les pieds. "A chaque fois, l'exercice durait 3 minutes puis on s'arrêtait 1 minute pour de la récupération active, debout, surtout fallait pas s'asseoir", explique Cédric Picaud. Là, ça allait encore !


Pas le temps de souffler, ou si peu, Cédric passe à la corde à sauter. "C'est clair que c'est un moment très dur physiquement, ça commençait à tirer, mais ce qui est encore plus dur dans l'exercice c'est la coordination des gestes sur la longueur.
Une fois la corde à sauter passée, Cédric comprend qu'il va passer aux choses sérieuses alors qu'il se dit déjà "fracassé". 

Les bandes ou mitaines sont alors de rigueur pour amortir les chocs. Sébastion forme alors Cédric aux gestes, à la technique: placement des poings pour viser visage et buste (le poing doit partir du menton pour revenir au menton. Et puis il y a la "danse" des pieds, le fameux sautillement.

Jusqu'à présent, en fait, c'était de la rigolade ! Quand le cérémonial des gants arrive, Cédric se rend compte qu'il est plus question de reculer. Le rire est un peu forcé avec 285 g dans chaque main. "ça fait vraiment bizarre de ne plus pouvoir se servir de ses doigts !".

C'est le moment de passer ses nerfs contre le sac. Quand Sébastien lui montre, Cédric a le regard inquiet: "j'ai alors compris que le gars qui tapait dans le sac, allait me taper dessus quelques minutes plus tard" (rires).

Plus possible de reculer, le ring attend les champions ! "Après l'échauffement, j'étais déjà vidé (...) on est à deux doigts de tomber dans les pommes, sans cesse on repousse les limites physiques, on est dans un état second", témoigne Cédric Picaud.

"Mentalement, faut vraiment être hyper solide. Je suis admiratif quand je vois Sébastien qui s'entraîne comme ça alors qu'il a déjà une journée de boulot dans les pattes", conclut Cédric qui, à la question est-ce que t'es prêt à recommencer, met un peu de temps à répondre, avant de dire oui.

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