L'affiche de l'édition 2022 du festival viennois était cette année encore très riche. Nous avons choisi de passer un peu de temps avec MC Solaar, Big In Jazz Collective, et Gregory Porter. Voilà le résultat
Après deux années compliquées, le festival de Jazz à Vienne a repris toute son ampleur. La rencontre entre les artistes et le public au coeur du théâtre antique. 190 occasions de passer un bon moment.
Le magazine proposé par Franck Giroud vous fait vivre de grands moments de cette édition avec un grand clin d’œil au jazz vocal. Des extraits de concerts et rencontres vous permettent de découvrir l’ambiance de cette édition 2022.
Au programme du magazine
MC Solaar
C’est le grand retour du rappeur poète français. Pendant de nombreuses années, MC Solaar n’a pas pu interpréter les titres de ses trois premiers albums. Il revient avec tous les grands titres qui l’on fait décoller dans le cœur des Français. «Bouge de là», «Qui sème le vent» «Caroline», ça vous rappelle quelque chose ? Vous retrouverez tous ces titres en version rap de luxe avec grand orchestre, chœur et cuivres.
Big In Jazz Collective
Huit musiciens caribéens composent ce collectif inédit. Le jeu de mot de leur nom n’est pas innocent. Pensé et élaboré sur une stratégie à long terme, le BJC a pour vocation de devenir la principale vitrine du Biguine Jazz Festival. Du jazz Caribéen et de la musique Afro-Caribéenne à travers le monde. C’est la première fois qu’ils se produisent à Vienne.
Gregory Porter
C’est l’un des grands noms qui a marqué l’histoire de cette dernière décennie à Jazz à Vienne. Le public du festival l’a découvert pour la première fois en 2012 en première partie de Mc Coy Tyner et surtout lors d’un concert au club de minuit dans l’écrin du théâtre municipal. 10 ans plus tard, Gregory Porter est revenu sur les traces de ce premier concert à Vienne avant de nous offrir une soirée tout en douceur. Son ascension météorique est méritée et une fois de plus il l’a prouvée.
A retrouver sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes jeudi 28 juillet en soirée.
