Norbert Grimoud, le maire de Saint-Georges-de-Commiers, en Isère, a déposé, fin septembre, un recours contre le projet de reprise de l'activité du petit train de La Mure par la socièté EDEIS. Il estime que sa commune a été oubliée dans ce projet.
En juin 2017, on sautait de joie dans le territoire de la Matheysine, en Isère. Après sept ans d’attente, la société Edeis annonçait qu'elle allait faire repartir le Petit train de la Mure d'ici à 2020.
C'était sans compter un nouvel obstacle. Fin septembre, le maire de Saint-Georges-de-Commiers, Norbert Grimoud, un déposé un recours contre le projet. Il estime en effet que sa commune a été oubliée alors que son histoire est liée à celle du petit train.
Norbert Grimoud, le maire de Saint-Georges-de-Commiers, en Isère, a déposé, fin septembre, un recours contre le projet de reprise de l'activité du petit train de La Mure par la socièté EDEIS. Il estime que sa commune a été oubliée dans ce projet.
"L'histoire de notre commune est liée à celle du petit train !"
"Tous les ateliers liés au train sont sur Saint-Georges-de-Commiers. Pendant longtemps, les familles qui travaillaient autour du chemin de fer habitaient ici", explique t-il. et d'ajouter : "Le quartier de la gare a été marqué par ce petit train : c'est là que ce faisait la réception, le lavage et le tri de tout le charbon de la Mure. L'histoire de notre commune est liée à celle du petit train !"
Le maire attend maintenant un geste des élus de la Métropole et du Département. "La Métropole est prête à examiner le sujet. J'attends miantenant un geste du Département", conclut-il.
