Pompiers humanitaires, étudiants, réfugiés hébergés par des familles racontent cette année de guerre entre peur, espoir et solidarité.
- L'ONG Pompiers Humanitaires Français s'est rendue à la frontière entre la Pologne et l’Ukraine dès les premiers jours de guerre.
Ils furent les premiers sur place, avec pour mission : établir un diagnostic des besoins pour mettre en place un large plan d’action humanitaire.
Un an plus tard, Hubert Roffat se souvient d’avoir fait face à une très grande détresse humaine.
Très vite en collaboration avec les pompiers polonais et les collectivités locales. Plusieurs missions voient le jour. Comme l’installation de deux dispensaires.
Durant 6 semaines, une vingtaine de membre de l’ONG ligérienne va apporter son aide au plus près des combats. Et prendre en charge des civils à bout de force.
Aujourd’hui L’organisation stéphanoise n’est plus sur place mais reste mobilisée.
Elle continue de transférer du matériel médical et vient de livrer une unité de soin mobile à la frontière Ukrainienne.
- Olga est la trésorière de Lyon Ukraine, Jean-Yves, lui, gère les stocks d’Energie Sans Frontière, une association dont le cœur de métier n’est pas l’urgence... mais depuis un an, elle se mobilise pour faire partir notamment du matériel médical.
Les dons viennent d'hôpitaux, d’Ehpad, de particuliers... Energie Sans Frontière les envoie habituellement en Afrique en plus de matériels électriques pour leurs projets humanitaire à long terme. Olga n’imaginait pas pouvoir récuperer encore de précieuses lampes solaires..
Avant de partir en Ukraine, c’est à Yzeron près de Grenoble que les groupes éléctrogenes réformés sont stockés... et vérifiés par Energie Sans Frontière... l’association compte plus de 150 membres, des retraités d’EDF pour la plupart, toujours très actifs, comme Jean –Claude...
Un groupe éléctrogène de 100 kilowatt peut alimenter un village ou un petit hôpital..
Les retraités à pied d’oeuvre savent qu’in fine ils alimentent aussi les drones de surveillance ukreniens... la guerre aujourd’hui c’est aussi celle de l’énergie
- Au fil des mois, sans se lasser, les habitants de St-Pierre de Chandieu ont partagé leur vie avec des familles ukrainiennes, ouvert leurs écoles aux enfants, trouvé du travail aux mamans. Tout au long de ces mois de guerre, St-Pierre de Chandieu a collecté des dons, des tonnes de dons et les a envoyer en Ukraine. Anne-Marie Galayda a mis en place cette chaine de solidarité inédite.
