Le salon Usine à encre se tenait jusqu'à dimanche à la Sucrière. The Ink Factory, son véritable nom, a rassemblé une multitude de professionnels dans tous les genres, y compris les tenants d'un art traditionnel thaïlandais. Une technique qui demeure manuelle, empreinte de spiritualité.
Qui dit tatouage dans l'Hexagone dit univers rock. Tout rappelle ce courant musical : les couleurs, les images, le son, le sang. Et parfois la douleur qui se lit sur les visages. Pour cette première édition de l'usine à encre, "The Ink Factory", les organisateurs de ce salon des tatouages ont vu plus large.
D'un sand à l'autre, on change de continent et on passe de l'Amérique à l'Asie. Du dermographe électrique au Kém Sak, autrement dit l'aiguille à tatouer thaïlandaise. Un art spirituel autant que graphique qui séduit de plus en plus.