"Bien faite, bien pensée, mais pas très difficile", a jugé Johan Clarey à propos de la piste de descente olympique des JO-2022 de Yanqing, dévalée pour la première fois par les skieurs ce jeudi 3 février lors du premier entraînement officiel.
Le savoyard Johan Clarey a dévalé pour la premier fois la piste de descente olympique des JO-2022 de Yanqing, ce jeudi 3 février lors du premier entraînement officiel.
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"Elle est plus facile que ce que je pensais. Elle est super agréable, toute au soleil, ce n'est pas souvent qu'on a ça sur la Coupe du monde. Elle est plutôt intéressante, j'ai trouvé ça fun", a expliqué en zone mixte le leader de l'équipe de France de vitesse après son passage sous un grand soleil.
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"Le haut, c'est beaucoup de mouvements de terrain, beaucoup de vitesse, c'est là où il faudra être très précis et avoir un peu de chance, parce que le vent peut malheureusement faire des grosses différences", a-t-il décrit. "Le bas s'accélère un peu et il y a ce mur que je pensais plus difficile un peu dans l'ombre mais il est plutôt assez facile à skier. La piste va s'accélérer de jour en jour. Ça va être très serré, beaucoup de monde va pouvoir jouer devant, elle n'est pas très sélective au final."
"Elle est bien faite, bien pensée, mais pas très difficile (...) Mais les meilleurs seront devant je vous rassure. Kilde, Odermatt, il va falloir aller les battre", a estimé le doyen de l'équipe de France (41 ans) qui n'avait jamais pu skier sur la piste chinoise, comme l'ensemble du circuit Coupe du monde.
Les spécialistes de vitesse ont rendez-vous vendredi et samedi pour deux autres entraînements chronométrés avant la descente dimanche, première course de ski alpin des Jeux de Pékin.
