Le groupe étudie la proposition d'un investisseurs. Les salariés reçus au ministère de l'Industrie.
Le groupe a demandé une suspension de sa cotation à la bourse de paris afin d'étudier la proposition d'un investisseur (une institution internationale) qui souhaite acquérir une part minoritaire.
L'intersyndicale du groupe doit par ailleurs être reçue aujourd'hui mercredi par le ministre de l'Industrie Eric Besson, au sujet de la stratégie du groupe.
Confronté à une dette record (plus d'un milliard d'euros), il est néanmoins détenteur de nombreux brevets dans l'audio, les écrans ou le traitement des images. Technicolor prévoit un plan social de 600 postes dans le monde, 125 en France, dont 44 à Rennes.
Le groupe a d'ores et déjà décidé de fermer le site de production de décodeurs d'Angers (350 salariés), activité aujourd'hui déficitaire. De passage à Rennes, Arnaud Montebourg a rencontré le hier le 1er mai une petite délégation de salariés. Il leur a indiqué que « ce sera un dossier prioritaire du nouveau gouvernement »