L'Indre et le Cher sont placés en risque "élevé" pour les allergies aux pollens. Une vigilance de mise jusqu'à fin août annonce le Réseau national de surveillance aérobiologique.
La saison des pollens est toujours en cours. Si elle est habituellement présente au printemps et au début de l'été, cette année, elle n'est pas encore terminée.
En effet, 13 départements du centre-est de la France ont été placés ce vendredi 25 août en risque "élevé" concernant les allergies aux pollens d'ambroisie jusqu'à la "fin août", indique le Réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA) sur son site internet.
Une mauvaise herbe
Cette mauvaise herbe se développe particulièrement près des cultures agricoles, des cours d'eau ou aux bords des routes. Le pollen de cette plante entraîne les mêmes symptômes que les autres pollens. Éternuements, obstructions nasales, des rougeurs ou encore des gonflements peuvent donc être relevés.
Les 13 départements concernés par ce placement en risque "élevé" sont la Drôme, l'Isère, l'Ardèche, le Rhône, l'Ain, la Saône-et-Loire, la Nièvre, l'Allier, le Cher, l'Indre, la Creuse, le Vaucluse et le Gard. Ce placement en risque "élevé" est valable jusqu'à la fin du mois.
Les averses comme seul répit
"Les pollens d'ambroisie gêneront fortement les allergiques en cette fin août", écrit le RNSA sur son site internet ce vendredi 25 août 2023. "Les averses de pluies orageuses seront les seules à apporter un répit temporaire aux allergiques".
En région Centre-Val de Loire, le Loiret reste en vigilance moyenne. L'Eure-et-Loir, le Loir-et-Cher et l'Indre-et-Loire ne devraient pas être inquiétés.