Depuis 2014, l'université a lancé un accompagnement des étudiants qui ont des projets d'entreprise. Le dispositif Pépite du Centre-Val de Loire compte seulement 30% de filles. Le 8 mars est l'occasion de présenter ces étudiantes déja chefs d'entreprises.
En région Centre-Val de Loire, 150 étudiants intègrent le dispositif "Pépite" mis en place par le ministére pour accompagner les étudiants qui souhaitent créer leur entreprise. Si le dispositif compte plus de garçons que de filles (70% / 30%), c'est que des freins demeurent dans l'accès à la création d'entreprise au féminin.
A l'occasion de la journée internationale des droits de la femme, l'Université a choisi de mettre en avant ces filles qui mènent de front leurs études et le statut de chef d'entreprise.
Lever les freins de l'accés des filles à l'entrepreneuriat
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Parmi ces jeunes filles, étudiante et chef d'entreprise, Emilie Mercier affirme sa volonté de créer son entreprise de traduction. Un statut acquis avec le dispositif "pépite" qui lui assure une crédibilité et démontre ses capacités. Elle déplore dans son parcours, qu'il manque de "succes story" de l'entreprise au féminin.
Promouvoir l'entreprise au féminin
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