Les agresseurs se vengent d'un refus d'embauche, mais se trompent de victime

Quatre adolescents ont été arrêtés pour l'agression d'un homme d'une trentaine d'années à Orléans le 5 août, dans le jardin des plantes. Selon la police, la cause de l'attaque serait un refus d'embauche d'un des agresseurs dans le commerce où travaille la victime.

Société
De la vie quotidienne aux grands enjeux, découvrez les sujets qui font la société locale, comme la justice, l’éducation, la santé et la famille.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "Société". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Ils ont partiellement reconnu les faits. Quatre jeunes hommes, âgés de 16 à 17 ans, ont été interpellés ce mercredi 23 août, pour une agression survenue au jardin des plantes d'Orléans le 5 août. Selon un communiqué de la police du Loiret, les quatre adolescents sont soupçonnés d'avoir agressé un homme d'une trentaine d'années.

La victime aurait été frappée, lui causant des douleurs au nez et aux côtes, sans rien de cassé. Huit jours d'incapacité totale de travail lui ont été prescrits. L'homme aurait également été menacé (mais pas blessé) par une batte de cricket et un couteau, ce dernier ayant été retrouvé sur place et saisi par les enquêteurs.

Toujours selon la police, l'agression serait une vengeance, suite à un "refus d'embauche d'un des jeunes" au sein du commerce où travaillait la victime. Celle-ci n'ayant "finalement rien à voir" avec cette affaire.

Quatre jeunes hommes ont donc été interpellés après vérification des images de vidéosurveillance, couplée au signalement des auteurs par la victime. Les quatre adolescents seront convoqués devant le juge des enfants en octobre.

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité