Selon nos confrères de la Nouvelle République, le conseil régional a entériné cette décision lors de sa dernière session plénière.
Connaître et étudier l'impact des perturbateurs endocriniens sur les habitants de notre région : c'est le but de la prochaine étude décidée par le conseil régional.Ces agents chimiques, naturels ou résultats de l'activité humaine, interfèrent avec le système hormonal d'un organisme et peuvent donc le perturber de plusieurs manières.
Le voeu des écologistes adopté
Lors de sa dernière session plénière, les élus de la région Centre ont entériné ce voeu porté par le groupe écologiste en mars 2017. "Il nous faut nous saisir régionalement de ce sujet pour élaborer collectivement des solutions" écrivaient alors les élus verts.
Selon nos confrères de la Nouvelle République, les élus de la droite et du centre se sont cette fois opposés par leur vote au conseil régional, alors même qu'ils avaient apporté leur soutien au voeu 2017.
150 000 euros pour réaliser l'étude
Une "décision modificative" en date du 28 juin 2018 nous en apprend un peu plus sur la façon dont va être menée cette étude. Il y est proposé la création d'une autorisation de débloquer des fonds (une"AE", autorisation d'engagement) à hauteur de 150 000 euros pour la réalisation de l'étude.
"Les crédits de paiement ne seront sollicités qu’en 2019 et 2020" précise le document.