Communistes et radicaux dénoncent "un blocage" après l'éclatement de la majorité de Gilles Simeoni qu'ils ont toujours qualifiée de "contre nature".
Réunis ce matin à Bastia, les élus communistes et radicaux de l'opposition dénoncent un blocage au sein de la municipalité de Bastia et demandent la tenue de nouvelles élections. Ce n'est pas un poisson d'avril, malgré la date choisie pour cette conférence de presse.
Ils estiment que les bastiais"ont été trahis par une alliance contre-nature" et que le "maire de Bastia doit démissionner".
La rupture entre Francois Tatti et le reste de l'union municipale crée un "blocage politique" selon Jean Zuccarelli et Francis Riolacci.
Il faut rappeler que l'union municipale, même sans François Tatti, dispose d'une majorité de 26 voix sur 43 conseillers, Emmanuelle de Gentili ayant créé son groupe.
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