Le festival BD à Bastia s'est ouvert jeudi 4 avril au centre culturel Una Volta. Il fête sa 26ème édition cette année avec un programme éclectique : 27 auteurs présents et quinze expositions originales.
Il a lancé sa 26 édition le 4 avril. Jusqu’au 7 avril, le festival BD à Bastia invite les curieux à la rencontre avec des nouveaux talents autour d’expositions, de projections, d’ateliers et surtout de rencontres avec les auteurs.
Nouvelle édition de #bd à Bastia
— Julien Morganti (@Morgantij) 4 avril 2019
Chaque année, découverte d’univers différents. Un réel plaisir à partager.#UneHistoireBastiaise pic.twitter.com/OICfNpKFME
Après avoir fait une entorse à sa tradition en proposant l’an dernier une édition anniversaire où il a mis en valeur des auteurs reconnus, le festival est revenu à ses racines enfilant de nouveau sa double casquette de détecteur et propulseur de talents.
Trois événements à ne pas rater
- Exposition collective Archipel, au théâtre municipal : Incontournable parce qu’elle est l’œuvre de neufs artistes. Difficile de ne pas trouver son compte dans une exposition de près 200 planches riches des visions de l’île bien différentes de leurs auteurs.
- Brecht Evens, prix du jury à Angoulême : Les murs du musée de Bastia proposent une immersion dans le style du Flamand Brecht Evens par des déambulations au milieu des œuvres Les Noceurs, Les Amateurs, Panthère et les Rigoles (roman graphique primé à Angoulême).
L'expo Brecht Evens "En Transparences" rend magique la visite du musée de Bastia. Samedi à 11h, rencontre avec l'auteur à l'auditorium. Ne pas manquer l'inspection de ces carnets-laboratoires. #bdabastia pic.twitter.com/1P8g0BbHm0
— Vincent Brunner (@VinceBrunner) 5 avril 2019
- Rencontre avec le grand reporter Feurat Alani, un récit en tweet : Il faudra se rendre au café Le Volta le samedi 6 avril (15h30). Ce sera l’occasion pour vous d’échanger avec ce journaliste d’origine irakienne qui s’est fait remarquer pour son travail colossal sur "Parfum d’Irak". Difficile de faire plus dans l’ère du temps que son récit décliné en 1000 tweets et accompagné par les dessins de Leonard Cohen. L’auteur y raconte ses souvenirs depuis son premier voyage en Irak à l'âge de 9 ans, jusqu'au jour où il décide de devenir journaliste pour couvrir la guerre sur place.