L'Agence régionale de santé (ARS) doit se prononcer d'ici la fin du mois sur la fermeture éventuelle de ce service qui s'occupe des prématurés. L'hôpital de Sélestat souffre d'un déficit de plusieurs millions d'euros. Le personnel est inquiet.
L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité
1800 signatures ont déjà été recueillies en moins d'une semaine. Des infirmières, des puéricultrices et des sage-femmes ne comprennent pas la menace qui pèse sur leur service de néonatologie. Il a pourtant été refait à neuf dernièrement, et ce service, qui prend en charge les bébés entre autres prématurés, n'est pas là pour concurrencer les grands centres hospitaliers. Il existe en complément, dans un maillage territorial.
Reportage de Marie Heidmann et Marie-Christine Lang
10 postes pourraient disparaître dans un premier temps, car ici tout le monde craint un effet boule de neige. La pédiatrie serait aussi menacée, il s'agit du même service et du même personnel. Sur les trois dernières années, l'hôpital cumule 4,8 millions d'euros de déficit. L'agence régionale de santé cherche donc à faire des économies. En attendant la décision de l'ARS sur le sort de ce service, la néonatologie est autorisée à poursuivre son activité à Sélestat jusqu'au 30 avril seulement.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters.
Notre politique de confidentialité