En 1974, la mine de Faulquemont (Moselle) ferme ses portes.
Les chevalements sont démolis mais le district urbain décide de conserver les bâtiments administratifs.
Objectif : réhabiliter ce patrimoine pour y accueillir des entreprises et favoriser la reconversion économique du site.
Dans les années 1960, la mine de Faulquemont emploie 3 000 mineurs.
En 1974, le site ferme ses portes : chevalements et bâtiments d'exploitation sont démolis.
Seuls les bâtiments administratifs sont préservés grâce à la volonté du district urbain de Faulquemont, nouveau propriétaire des lieux.
Après sa réhabilitation, le site reconverti accueille un centre de formation pour les métiers des travaux publics : le centre Raymond Bard mais aussi l'AFPA, un conservatoire de l'automobile et une entreprise de communication.
En 1974, le site ferme ses portes : chevalements et bâtiments d'exploitation sont démolis.
Seuls les bâtiments administratifs sont préservés grâce à la volonté du district urbain de Faulquemont, nouveau propriétaire des lieux.
Après sa réhabilitation, le site reconverti accueille un centre de formation pour les métiers des travaux publics : le centre Raymond Bard mais aussi l'AFPA, un conservatoire de l'automobile et une entreprise de communication.
Mais l'histoire ne s'arrête pas là, le Ministère de la Culture vient de labéliser l’ancien carreau de la mine qui devient "Architecture contemporaine remarquable".
L’architecte français Léon-Joseph Madelin l’a construit à la manière d’un château classique : allées bordées d’arbres, pavillon central et surtout des peintures à la gloire des mineurs qui ornent l’entrée du bâtiment principal depuis 1936.
Pour François Lavergne, président du district urbain de Faulquemont, ce label est une reconnaissance qui permettra d'accroitre l'attractivité du lieu.
Une reconnaissance esthétique qui s’ajoute donc à la renaissance économique de l’ancien site minier.