Selon les premiers éléments de l'enquête, la piste criminelle s'éloignerait après l'incendie le 2 décembre dernier de deux entrepôts des Restos du Coeur à Vendin-le-Vieil. La thèse accidentelle serait privilégiée.
Les analyses des prélèvements relevés par les techniciens de la police scientifique sur place ne révéleraient en effet pas de présence d'hydrocarbure. Il n'y avait pas non plus de trace d'effraction sur le site, selon La Voix du Nord.
La zone du départ de feu aurait été clairement identifiée, au fond de l'un des deux bâtiments qui se sont embrasés. Dans un premier temps "deux foyers" avaient été évoqués.
L'incendie, qui a privé 15 000 bénéficiaires, a suscité un élan de solidarité national sans précédent, permettant à l'association de faire face à ce triste événement.