Voici en images les réactions de quelques personnalités politiques du Nord ou du Pas-de-Calais suite aux résultats du 1er tour de l’élection présidentielle.
Déclarations plus complètes des principales personnalités politiques du Nord et du Pas-de-Calais
Steeve Briois (FN) : "Est-ce que les Français veulent remettre un Hollande bis ou pas ? Je ne pense pas. (...) Les Français en ont assez soupé d'avoir eu une politique catastrophique pendant 5 ans avec Hollande. Je pense qu'ils feront un autre choix que mettre le fils spirituel de François Hollande à l'Elysée."Gérald Darmanin (LR) : "C'est une défaite personnelle de François Fillon et d'une ligne politique trop peu à l'écoute des aspirations populaires. La droite française a perdu l'imperdable. La grande leçon de cette élection, c'est que la droite, quand elle se recroqueville sur elle-même, ne peut pas gagner. La droite française c'est, depuis De Gaulle, le rassemblement du métro à 5 heures, pas le rétrécissement sur ses seules bases bourgeoises et conservatrices. Je vote sans état d'âme pour Emmanuel Macron, même si son score est loin d'être un plébiscite.
Michel Dagbert, président du conseil départemental du Pas-de-Calais : « C’est un grand soulagement. Ma position était connue, compte tenu du climat et de l’aspiration de nos concitoyens allant vers un vote sanction ou d’adhésion aux idées du FN. Les positions du FN sont mortifères.
Xavier Bertrand, président LR de la région Hauts-de-France : "Au second tour je mettrai un bulletin de vote pour Monsieur Macron pour rejeter l'extrémisme incarné par Marine Le Pen. C'est ma responsabiltié de républicain".
Jean-Louis Borloo : "Emmanuel Macron devra porter le renouveau politique, la modernité, la solidarité et la cohésion dont la France a tant besoin"
François Hostalier, coordinatrice de la campagne de François Fillon : "Emmanuel Macron, de mon point de vue, n’est pas digne de pouvoir exercer la fonction suprême. Il a déshonoré la République tout au long de la campagne avec ses propos sur la Guyane dont il a dit que c’était une île, ou sur la colonisation qu’il a qualifiée de crime contre l’humanité."
Martine Aubry, maire PS de Lille : "Comme en 2002, tous les républicains doivent faire barrage au Front National"