Au 12ème siècle et ce, jusqu’en 1550, des malades sont venus passer ici leurs derniers jours. A l’époque, la Normandie comptait 300 léproseries. Par la suite, la chapelle va lentement dépérir.
Une réhabilitation à 500 000 euros
Il aura fallu se battre 10 ans pour remonter des murs et retrouver l'esprit des lieux. La léproserie dévoile à nouveau ses mystères dans un bel écrin de verdure.
VIDEO : le reportage de Pierre-Guillaume Creignou et Brunon Belamri
- Luc Bonnin, propriétaire de la Chapelle Saint-Thomas
- Benoît Gatinet, maire d'Aizier
durée de la vidéo: 01 min 48
La léproserie d'Aizier