Circulation dense, petites rues, trottoirs étroits, vitesse excessive : les riverains réclament des solutions
La crainte de se faire écraser
C'est l'une des portes d'entrée de la Normandie. Un axe routier qui relie l'Oise à Evreux et à Rouen et qui, en provenance de Beauvais et du contournement de Gisors, passe par le bourg d'Etrépagny.L'une des dernières communes normandes encore traversées quotidiennement par des semi-remorques, auxquels s'ajoutent les engins agricoles et les autocars. Résultat : quand deux poids-lourds se croisent, les véhiculent montent sur les trottoirs.
Dans la rue du général Leclerc, la peur de l'accident alimente l'exaspération, et des riverains exigent des aménagements. Surtout, que depuis une semaine (et jusqu'à début janvier), la récolte de la betterave a débuté et qu'une noria de 500 camions par jour alimente la sucrerie située à Etrépagny.
La municipalité, consciente du problème et des nuisances subies par les habitants, va tenter de trouver des solutions avec l'aide du département. Mais les travaux ne sont pas pour tout de suite
VIDEO : le reportage France 3 Haute-Normandie de Julie Howlett et Didier Meunier
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