A quelques heures du début des blocages, tous les observateurs se demandent combien seront -ils le 17 novembre au petit matin, réellement. Et alors que les détracteurs du mouvement se lâchent aussi sur les réseaux sociaux, les gilets jaunes sont dans les starting-blocks.
Après plusieurs semaines passées à faire "monter" la sauce, le mouvement "passe"à table. Beaucoup attendent de voir combien seront-ils en réalité. Car parti des réseaux sociaux ce mouvement est difficile à quantifier.
Aux points de rendez-vous fixés souvent très tôt : entre 6 et 7 heures du matin, ils vont enfin pouvoir se compter .
En attendant, banderoles et gilets grimés sont prêts : beaucoup s'annoncent sur la page Facebook des "Automobilistes normands en colère".
Les slogans visent : les jeux de mots avec pompes :
Ils expriment aussi la colère : le poing levé? En prenant bien soin de rester apolitique.
Et puis il y a les créateurs :
Et les rationnels :
Souvent les publications ne manquent pas d'humour, comme cet internaute gilet jaune qui se moque de sa voiture ... jaune : son gilet ne soit même plus !
Les jeux de mot :
Et le clin d'oeil sur les pièces jaunes : puisqu'il a été décidé de payer les péages d'autoroute avec .... des pièces de quelles couleurs ? jaunes évidemment.
D'autre s'amusent, en France, à créer des chanson : comme ce morceau de rap "adpaté"...
Pour suivre les anti-gilets jaunes , il faut rechercher notamment sur Twitter les #sansmoile17 et #enbleule17.