La mairie de Rouen, propriétaire d'une ancienne maison de retraite squattée depuis le 19 mai, a saisi le tribunal d'instance
 

Société
De la vie quotidienne aux grands enjeux, découvrez les sujets qui font la société locale, comme la justice, l’éducation, la santé et la famille.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "Société". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Organisée par un collectif d'associations d'aide aux migrants, l'occupation d'un immeuble inoccupé a eu lieu le 19 mai dernier, à l'issue d'un rassemblement et d'un défilé dans les rues de Rouen.

► Lire notre article publié ce jour-là :
Avançant des arguments liés à la sécurité, la mairie de Rouen, propriétaire de cette ancienne résidence a demandé l'évacuation des lieux.
Plus de 150 personnes y sont logées, pour la plupart des migrants et des sans-papiers "sans solution d'hébergement".

Après une première procédure juridique ratée (la mairie avait saisi le mauvais tribunal), c'est au tribunal d'Instance qu'une nouvelle demande d'expulsion était examinée hier après-midi (lundi 2 juillet 2018) pendant que plusieurs dizaines de militants (et de squatteurs de la résidence) étaient réunis à l'extérieur, devant le siège du tribunal.

Finalement, ceux qui occupent "sans droit ni titre" ne seront pas expulsée avant le mois prochain. L'affaire a été en effet mise en délibéré et le tribunal d'instance rendra sa décision le 8 août…

VIDEO : le reportage de la rédaction de France 3 Normandie avec l'interview de

  • Aurélie Sinoir, avocat de  Droit Au Logement

On n'a pas vu de proposition claire, nette, écrite, quelque chose de solide, qui nous permettrait, effectivement, de dire que ces gens-là sont à l'abri…  

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information