Municipales 2014 à La Rochelle: rien n'est joué

A 12 mois du scrutin, à gauche comme à droite, il n'y a toujours pas de candidats officiels mais dans les deux camps, un mot revient très souvent, union mais pour l'instant celle-ci n'en serait encore qu'au stade embryonnaire.

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La situation rochelaise semble donc très compliquée mais peut en fait se résumer à deux noms, Maxime Bono et Jean-François Fountaine ou plutôt quatre en ajoutant ceux d'Olivier Falorni et de Ségolène Royal tant les divisions et rancoeurs apparues au sein du PS rochelais lors des dernières législatives sont toujours bien présentes.
Maxime Bono, chef de file des Royalistes a succédé à Michel Crépeau en 1999 à la tête de la ville, briguera-t-il un nouveau mandat? Lui-même dit qu'il n'a pas encore pris sa décision. "Ce qui est important c'est l'union", affirme t-il mais en ajoutant que pour lui, une fois une liste commune constituée,  "le problème du leadership n'est pas un problème. Je ne serai jamais un obstacle au rassemblement".
Car ce qui se joue actuellement pourrait-être déterminant, Falornistes et Royalistes cherchent à se mettre d'accord sur les noms figurant sur cette liste de rassemblement, qui pourrait être d'abord celle du rassemblement du PS. Et si un accord est trouvé, Maxime Bono pourrait peut-être se retirer.
Jean-François Fountaine, le principal soutien d'Olivier Falorni, lui, ne laisse planer aucun doute sur sa volonté de se présenter même s'il n'a pas encore fait acte de candidature officielle. "Je prends des dispositions pour me rendre totalement disponible car un mandat de maire, c'est bien sûr un mandat à temps plein".  Aujourd'hui, il affirme sa volonté de "rassembler ceux qui ont soutenu Ségolène Royal comme ceux qui ont soutenu Olivier Falorni"
Et à droite? Rien n'est joué non plus, plusieurs noms circulent pour prendre la tête d'une liste là aussi d'union. Mais la stratégie de la droite rochelaise pourrait peut être aussi dépendre de ce qui se passera au Parti Socialiste.
Dans la vidéo, Eric Vallet, Laurent Gautier et Joël Bouchon ont rencontré les principaux protagonistes de cette bataille rochelaise.





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