Le disque microsillon ou vinyle survit à ses artistes. Les pièces les plus rares qui se sont échangées ce week-end à Bordeaux lors de la 53e édition du salon du disque sont autant de pans de la mémoire musicale mondiale.
Les discussions autour des stands parlent autant du contenant que du contenu. Objets de convoitises, les éditions les plus rares d'artistes comme Michael Jackson ou Johnny Hallyday côté français s'échangent plusieurs centaines, voire milliers d'euros.
Le disque microsillon ou vinyle survit à ses artistes. Les pièces les plus rares qui se sont échangées ce week-end à Bordeaux lors de la 53e édition du salon du disque sont autant de pans de la mémoire de la musique mondiale.
La côte de Lemmy Kilminster de Motörhead ou encore David Bowie a monté en flèche depuis leur disparition. Le vinyle passe brillament l'épreuve du temps avec un son grésillant mais chaleureux et des pochettes aujourd'hui soigneusement conservées.
La nostalgie semble une valeur refuge pour les collectionneurs en tous genres.
