Le Festival international du film de La Rochelle à commencé vendredi soir. Une 46e édition qui fait toujours la part belle au cinéma d'auteur. Mais tout voir frôle l'exploit !
Le 46 e festival international du film de La Rochelle, c'est 200 films sur 10 jours dans 14 salles. Un programme riche et dense. Pour ces festivaliers de la première heure, établir un emploi du temps est la première étape incontournable, quitte à rater la première séance.
Le problème de ce festival c'est qu'il faut toujours faire un choix. C'est un choix toujours douloureux, en raison du grand nombre de spectateurs
Résultat, pour atteindre les salles obscures il faut s'armer d'un peu de patience. Être présent 20 bonnes minutes avant le début de la séance est une bonne assurance. Dans ce festival où le maître mot est l'éclectisme il faut surtout savoir bien choisir ses projection.
Ancien ou moderne, d'Ingmar Bergman à Quentin Dupieux, de fictions bulgares en documentaires roumains, il y en a ici pour tous les goûts, et tous les publics. De quoi tomber aussi sur de belles surprises.
Passer de Chicken Run de Nick Park aux fraises sauvages de Bergman ce n'est pas si compliqué. Il suffit d'entrer dans une salle, de monter quelques marches, s'installer confortablement. Et Chut, ça commence...
Ambiance du festival avec Joël Bouchon, Iban Carpentier et Josiane Etienne